En début de phénomène, la géométrie des lieu impose que l’on se place très près du mur. On utilise pour l’observation un banc d’optique du lycée avec une lentille de 50cm de focale puis un miroir plan orienté à 45° et finalement une lentille de 8cm de focale posée sur la table. (Photo C. Busquet)
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L’image est donc petite, ici peu après le premier contact. (Photo JJ Fleck)
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Parfois, le mise au point de la lunette improvisée n’est pas parfaite: il faut ajuster les différents éléments constitutifs. (Photo C. Busquet)
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Observation derrière un verre de soudeur. (Photo F. Charlier, TS4)
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Visualisation à l’aide d’une paire de jumelles (photo C. Busquet)
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Application du cours de CPGE: deux polariseurs croisés sont utilisés pour atténuer le rayonnement solaire et éviter la saturation du capteur. (Photo E Schuler)
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Cela marche aussi directement derrière les lunettes de protection (même si la mise au point n’est pas forcément facile). (Photo E. Quiring, MPSI2)
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Utilisation de la sténopé : on fait l’image du Soleil grâce à de petits trous dans un carton au devant. (Photo JJ Fleck)
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L’envers du décor pour la Sténopé. (Photo E. Schuler)
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Après une heure, on a pu se déplacer un peu plus loin pour avoir une image plus grande, malgré un poteau fort mal placé. (Photo JJ Fleck)
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Quelques explications orales et une meilleure vue de la lunette improvisée. (Photo E Schuler)
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Zut, on a paumé l’image… (Photo A. Girard, PCSI1)
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Concentration… (Photo A. Girard, PCSI1)
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And it’s back again ! (Photo A. Girard, PCSI1)
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Le Soleil, lui, s’est bien marré ! (Photo JJ Fleck)
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Le maximum d’occultation approche. Observation derrière une paire de jumelles (Photo C. Busquet)
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Passage par un sourire quasi-horizontal (J. Schuster, TS6)
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Tous les moyens sont bons pour limiter l’intensité lumineuse qui atteint le capteur du téléphone portable. (Photo E. Schuler)
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On est proche du maximum d’occultation. (Photo JJ Fleck)
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Finalement, beaucoup de monde sur le pont pour observer le phénomène. (Photo E. Schuler)
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Du coup, pour que tout le monde puisse voir, il a parfois été nécessaire de viser plus haut. (Photo J. Schuster, TS6)
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Un autre système d’observation fait maison avec une bande de mylar fixée sur un carton. (Photo E. Schuler)
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Une prise d’image directe au smartphone avec une réflexion « parasite » finalement fort bien venue ! (Photo L. Bringel)
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Prise de vue directe à l’appareil photo numérique avec l’image dans le reflet. (Photo P. Cimetière, PC*)
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Projection sur le plafond derrière la paire de jumelles (Photo C. Busquet)
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Réutilisation de la sténopé, après le maximum d’occultation: l’ombre de la Lune a changé de côté. (Photo JJ Fleck)
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On profite de l’expérience pour faire quelques explications d’optique géométrique. Notez que le banc est de plus en plus incliné à mesure que le Soleil monte dans le ciel. (Photo C. Busquet)
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Le sourire a tourné ! La lune s’est déplacé vers l’autre côté du disque solaire. (Photo C. Busquet)
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Le Soleil retrouve son sourire (après rotation de la feuille !). (Photo C. Busquet)
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Et c’est bientôt l’heure de dire au revoir… (Photo JJ Fleck)
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